Son partenaire a un petit pénis, elle dévoile la vérité sur leur intimité

La taille du pénis demeure subjective (5/10)
Bon, et après ça ? Doit-on considérer qu’un pénis qui mesure 11 centimètres en érection est petit ? Non, il est juste en dessous de la moyenne. D’ailleurs, un pénis qui mesure 9 centimètres n’est pas non plus petit. Ou si, et j’y viens : la taille du pénis demeure subjective. Je m’explique : 9 centimètres, c’est petit pour certaines, grand pour d’autres, moyen encore pour d’autres.
S’adapter au sexe de l’autre (6/10)
Tout dépend des verges que l’on a rencontrées (si elles étaient toutes énormes, comment accueillir la moins énorme d’entre elles ?), de nos attentes en la matière, et surtout de l’expérience que nous entamons avec ledit pénis. Donc finalement, la taille du pénis du partenaire de Lola nous intéresse peu. Nous, ce que l’on veut, c’est comprendre comment Lola peut s’épanouir avec cette donnée.
Un conseil psy et un conseil pratique (7/10)
J’aurais un conseil plutôt psy et un conseil plutôt pratique. Le psy : bousculer sa vision des pénis et de leurs missions. Autrement dit : tant que l’on imagine qu’un pénis doit être gros, puis tout donner durant la pénétration, on a davantage de chances d’être déçue. Qui a dit qu’un pénis devait ressembler à une poutre qui ne s’essouffle jamais ? Rendons aux films pornos ce qui appartient aux films pornos.
La sexualité n’est pas que pénétration (8/10)
Côté pratique, étirons le conseil psy : et si on sortait justement de la pénétration ? Et si on profitait des caresses ? Bien sûr, on peut tenir à la pénétration, auquel cas on se dirigera vers des positions adaptées, comme l’Andromaque. En étant sur son partenaire, on peut davantage orienter l’angle de pénétration jusqu’à flirter avec des sensations agréables. Le missionnaire sera très bien aussi, notamment si l’on essaie de lever les jambes, de les écarter beaucoup ou pas du tout.