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L’offre surprenante de Charles III

Le 27 février dernier, Keir Starmer s’est transformé en messager royal lors de sa visite à Washington. Le Premier ministre britannique a remis en main propre à Donald Trump une lettre signée Charles III, contenant une invitation officielle pour une visite d’État à Londres. Face aux caméras du Bureau Ovale, le président américain, tout sourire, a salué cet honneur. Mais derrière cette démonstration de courtoisie, un plan bien plus ambitieux semble en marche…

Selon The Sun, le beau-père de Kate Middleton mijote une proposition pour le moins inattendue : offrir aux États-Unis le statut de “membre associé” du Commonwealth. Une initiative qui viserait à détendre les tensions entre Washington et Ottawa, tout en renforçant l’axe Londres-Washington. Reste à voir si le compagnon de Melania Trump se laissera séduire par cette alliance royale… ou s’il préférera jouer les électrons libres.

“Ce serait une initiative merveilleuse”

“Les discussions sont en cours au plus haut sommet de l’État“, a soufflé une source au Daily Mail. Avant d’ajouter : “Ce serait une initiative merveilleuse qui symboliserait la relation étroite entre la Grande-Bretagne et les États-Unis. Donald Trump aime la Grande-Bretagne et a un grand respect pour la famille royale, nous pensons donc qu’il en verrait les avantages.” Un discours bien rodé qui laisse entendre que le terrain est déjà préparé pour séduire l’ancien président américain.

Derrière cette opération de charme, Charles III semble jouer une partition finement orchestrée. En habile stratège, le souverain britannique espère redéfinir les liens diplomatiques entre Londres et Washington. La Couronne aurait-elle trouvé le moyen de rapprocher Trump du Commonwealth ? Une chose est sûre, le roi n’a pas dit son dernier mot.