“Monaco perd une étoile” : Albert en larmes, il annonce la mort de…

Fernanda, qui aurait célébré son centième anniversaire en juillet prochain, a traversé des périodes de bonheur et de douleur. Elle était veuve depuis 1998, suite au décès de son époux Giancarlo, et avait perdu un de ses fils, Daniele, en 2016. Son fils Marco a partagé quelques mots touchants à son sujet : « Maman a eu de grandes joies et de grandes peines. C’était une femme qui a grandi en temps de guerre, capable d’affronter avec courage la vie et ses épreuves. Elle nous a transmis des exemples et des souvenirs inoubliables que nous chérirons pour toujours. »

Au fil des années, Fernanda avait su faire preuve d’une résilience remarquable face aux aléas de l’existence. Née dans une Italie marquée par les bouleversements de l’entre-deux-guerres, elle avait grandi dans un contexte historique difficile. Ce cadre a sans doute forgé son caractère fort et sa capacité à affronter les épreuves avec dignité. Après la guerre, elle a bâti une vie marquée par un amour profond pour sa famille et un dévouement sans faille envers ses proches.

Fernanda Biffi Casiraghi était bien plus qu’une belle-mère pour Caroline de Monaco. Elle était une grand-mère présente et aimante pour Charlotte, Pierre et Andrea, jouant un rôle important dans leur vie, surtout après la perte de leur père. Ses valeurs et ses enseignements ont contribué à façonner ces trois figures emblématiques de la jeunesse monégasque.

La disparition de Fernanda Biffi Casiraghi marque la fin d’une ère pour la famille Casiraghi et, par extension, pour la maison princière de Monaco. C’était une femme qui, malgré les vents contraires, a su maintenir une énergie et une intensité remarquables tout au long de sa vie. Ses proches se souviendront d’elle comme d’une mère et grand-mère dévouée, d’une femme de caractère, et d’une source d’inspiration.