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Marine Le Pen fait trembler la France avec cette révélation qui pourrait tout changer… “Je vais vous…”

L’affaire des assistants parlementaires : Marine Le Pen et le RN devant la justice

Cet automne, Marine Le Pen, ancienne dirigeante du Rassemblement National (RN), ainsi que 26 autres personnalités du parti et le RN en tant que personne morale, devront répondre devant le tribunal judiciaire de Paris dans l’affaire dite des “assistants parlementaires”. Cette affaire, qui remonte à plusieurs années, accuse les euro-députés de l’ex-Front National d’avoir détourné des fonds publics européens en employant des collaborateurs pour des tâches partisanes plutôt que pour des missions liées au Parlement européen. Les audiences, prévues du 30 septembre au 27 novembre, pourraient avoir des conséquences majeures sur l’avenir politique des prévenus.

Des accusations d’emplois fictifs

Au cœur de cette affaire se trouve l’accusation selon laquelle des assistants parlementaires recrutés par les euro-députés FN auraient été employés pour travailler au sein du parti plutôt que pour des missions européennes. Selon les enquêteurs, 20 des 24 assistants des élus FN figuraient dans l’organigramme du parti, ce qui laisse supposer qu’il s’agissait d’emplois fictifs. Ce système, qui aurait fonctionné de 2004 à 2016, aurait coûté près de 7 millions d’euros au Parlement européen.

Cette affaire n’est pas sans rappeler celle impliquant des euro-députés du MoDem, condamnés l’hiver dernier pour des faits similaires. Cependant, François Bayrou, président du MoDem, avait été relaxé “au bénéfice du doute”. Cette différence de traitement pourrait influencer les attentes des prévenus dans l’affaire du RN.

L’enquête de l’OLAF et les soupçons pesant sur Marine Le Pen

L’affaire a éclaté en mars 2015 après un signalement anonyme au Parlement européen, qui a conduit à l’ouverture d’une enquête par l’Office européen de lutte antifraude (OLAF). Marine Le Pen, qui a été députée européenne de 2004 à 2017, est particulièrement visée. Elle est soupçonnée d’avoir indûment salarié sur des fonds européens deux de ses proches collaborateurs : Catherine Griset, sa cheffe de cabinet, et Thierry Légier, son garde du corps personnel.

Face aux pressions, Marine Le Pen a finalement accepté de rembourser 326 401 euros au Parlement européen. Cependant, cette restitution ne met pas un terme à l’affaire, qui a pris une tournure judiciaire en France.

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