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Flavie Flament à 49 ans : les fesses à l’air, elle affiche son corps au naturel.

Tout était génial et je vois mon popotin dans le miroir et je me dis : ‘Waouh, chouette popotin !’” Et de poursuivre, sans tabou : “Je me retrouve, ce que je n’avais jamais fait de ma vie, parce que je ne fais jamais des photos de mes fesses… à prendre une photo de mes fesses en me disant : ‘Souviens-toi, à 49 ans et 6 mois, ton cul n’était pas si mal.’ Et quand j’ai mis la photo, le texte en dessous, je me suis dit : c’est à ça qu’elle servait, cette photo. Merci à cette lumière. Merci à moi de m’être arrêtée et d’avoir regardé mon pétard en me disant : ‘Ouah, pas mal ! Rebondi, mais sympa.’”

Flavie Flament s’insurge contre l’âgisme

Pour Flavie Flament, la vague de commentaires haineux suscités par son post Instagram reflète une certaine défiance de beaucoup envers l’impact du temps qui passe sur les femmes. Auprès de Brut, l’ancienne épouse de Benjamin Castaldi a ainsi mis en lumière le “body shaming” courant sur la Toile envers la gent féminine : “Dans les réactions que j’ai reçues, certaines femmes m’expliquent qu’elles sont victimes de body shaming dans leur propre foyer. C’est-à-dire qu’elles font hyper gaffe.

Elles ne veulent pas vieillir, elles ne veulent pas grossir, parce que leur propre mari, leur propre compagnon, leur mec, leur rappelle régulièrement qu’il faut faire gaffe. Et elles ont peur d’être quittées parce que, finalement, elles ne vont pas répondre aux critères imposés par la société.” Un traitement d’une “cruauté implacable”, a ainsi souligné Flavie Flament, qui a cependant assuré ne pas être devenue “le nouveau visage de la lutte contre le body shaming” à la suite de cette polémique.

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