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Amandine, morte de sa faim : sa mère réagit « j’avais oublié de…

Condamnée à la perpétuité après la mort de sa fille Amandine, Sandrine Pissarra s’était pourtant fait une réputation de parfaite voisine dans son village de Montblanc. Atterrés par la mort de la jeune adolescente, les habitants se demandent comment ils ont pu passer à côté d’un tel monstre et sont hantés par le visage de la jeune adolescente.
Morte à seulement 13 ans après avoir été victime des supplices et tortures physiques et psychologiques sa mère Sandrine Pissarra, Amandine avait été laissée sans nourriture, nue dans un cagibi sans porte ni fenêtre. Elle a succombé d’une septicémie en août 2020 à Montblanc dans l’Hérault et ne pesait plus que 28 kg pour 1,55 m au moment de sa mort.
Condamnée vendredi dernier à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté de vingt ans, Sandrine Pissarra se présentait pourtant comme la parfaite voisine aux yeux des habitants du village et avait même ouvert une onglerie. Se sentant coupables, les Montblanais ont dû mal à imaginer qu’un pareil monstre ait pu vivre près de chez eux sans qu’ils s’en rendent compte.
Bien sûr qu’on s’en veut de n’avoir rien vu et de ne s’être doutés de rien. Mais il faut dire que sa mère avait tout fait pour tromper son monde. Par exemple, les enfants n’étaient pas scolarisés ici“, révèle Marion, une employée de mairie, dans l’édition de ce dimanche 26 janvier 2025 du Parisien. Elle ajoute : “Après son décès, elle avait même fait croire à une mort naturelle.” D’ailleurs, Sandrine Pissarra (qui a huit enfants) prenait soin de changer Amandine d’établissement tous les ans afin de ne pas éveiller les soupçons.
Elle était agréable et insérée dans le village
On va devenir le village où la petite est morte de faim (…) Il y avait un monstre sous nos yeux sans qu’on s’en rende compte“, regrette Adeline avant que Tony n’évoque la mère d’Amandine : “Elle était agréable et insérée dans le village. Rien ne nous avait alertés. On peut dire qu’elle cachait bien son jeu“.
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